Dans cet article, vous allez découvrir le syndrome SOPK, qui signifie “syndrome des ovaires polykystiques”.
La cause de cette maladie est encore méconnue, mais il y a plusieurs facteurs qui peuvent déterminer si vous êtes potentiellement touchés.
Elle affecte principalement les femmes qui sont en âge d’avoir des enfants avec des dérèglements hormonaux.
Zoom sur le syndrome SOPK et toutes ses spécificités.
Ce qu’il faut retenir :
-
Environ 10 % des femmes sont atteintes par ce syndrome ;
-
C’est une maladie chronique ;
-
Elle se caractérise par un niveau élevé d’androgène, l’hormone masculine.
Comment savoir si j’ai le syndrome SOPK ?
La maladie se développe généralement entre 15 et 45 ans et correspond à la période de procréation chez la femme.
Il n’y a pas qu’un seul facteur qui tend à dire que vous avez absolument cette maladie, mais plutôt un ensemble de signaux.
Voici les signes qui devraient vous alerter.
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Vous avez une ovulation rare et irrégulière. En temps normal, les ovaires d'une femme libèrent un ovule tous les mois lors de l'ovulation. Chez les femmes atteintes de SOPK, l'ovulation est souvent irrégulière, voire absente. Cela se traduit par des cycles menstruels très espacés ou l'absence totale de règles.
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Vous avez une pilosité anormale pour une femme : à travers une production excessive d'hormones masculines que l’on appelle androgène, comme la testostérone. Cette hyperandrogénie se manifeste avec une pilosité excessive sur votre visage, votre torse, vos bras ou vos jambes.
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Vous avez eu des kystes diagnostiqués par un professionnel de santé lors d’une échographie pelvienne, avec la présence de nombreux petits follicules. Généralement, ces follicules sont libérés lors de l'ovulation mais peuvent résister et donner des ovaires polykystiques.
Quels sont les principaux symptômes ?
Dans 80 % des cas, on retrouve des troubles du cycle menstruel avec des cycles irréguliers et des règles absentes ou trop espacées. Ici, les règles peuvent être espacées de plus de 35 jours.
Dans 70% des cas, on assiste à une manifestation excessive de poils et l’apparition d’acné et d’une peau grasse, ainsi qu’une perte anormale de cheveux appelée alopécie androgénétique.
Enfin dans 50 % des cas, vous pouvez constater des troubles métaboliques avec une prise de poids importante, notamment au niveau abdominal. Conséquence, vous êtes plus susceptibles de développer un diabète de type 2.
Pourquoi contracte-t-on cette maladie ?
Même si aucune étude scientifique n’a tiré de conclusion définitive sur l’origine de cette maladie, on retrouve quand même certains points communs sur les femmes qui ont développé le syndrome SOPK.
Si vous avez quelqu'un dans votre famille qui a déjà eu cette maladie, cela augmente le risque que vous l’ayez aussi. En effet, l’hérédité joue un rôle important dans la transmission.
Vos hormones produisent beaucoup trop de testostérone et vous avez quasiment la même pilosité que celle d’un homme.
Une femme en surpoids a aussi plus de risque d’être concernée. On estime à 50% le pourcentage de femmes en surpoids ayant le syndrome SOPK. C’est pourquoi il est vital de surveiller votre alimentation pour qu’elle soit la plus équilibrée possible, ainsi que de pratiquer une activité physique régulière.
Existe-t-il un traitement pour le syndrome SOPK ?
Aujourd’hui, il n’existe aucun traitement pour traiter cette maladie. C’est une maladie incurable, que vous aurez à vie.
Rassurez-vous, il existe quand même des traitements médicaux et naturels pour vous rendre la vie moins contraignante.
Les traitements médicaux
- Prendre une pilule contraceptive pour réguler les cycles menstruels et réduire l’hyperandrogénie ;
- Prendre des médicaments comme la spironolactone, qui a pour objectif de réduire l’apparition de poils en bloquant les hormones masculines dans le corps. Ces médicaments aident aussi à combattre les problèmes d’acné ;
- Utiliser des inducteurs de l’ovulation comme le citrate de clomifène, qui vont augmenter le nombre d’ovules.
Les solutions naturelles
Certaines plantes ont montré des effets bénéfiques dans la gestion des symptômes du SOPK. Voici les meilleures plantes qui peuvent vous aider à réguler ce syndrome.
La cannelle : elle réduit la résistance à l'insuline et améliore la régularité des cycles menstruels. La cannelle peut être bénéfique pour les femmes atteintes de SOPK souffrant d’aménorrhée, c’est-à-dire d’absence de règles.
Le thé vert : il régule le taux de glycémie et améliore la sensibilité des cellules à l'insuline.
Le fenugrec : il améliore la sensibilité à l’insuline et peut aider à réduire les taux d'androgènes.
Une infusion de quelques tasses par jour d’une de ces plantes, en complément d’un traitement médical adapté est une solution idéale pour stimuler la production d’ovaires.
S’épiler avec une crème naturelle
La crème dépilatoire représente une solution efficace et naturelle pour gérer ce problème d'hirsutisme lié au syndrome SOPK.
Il est assez fréquent de voir des femmes souffrant de ce syndrome, utiliser des méthodes d’épilation agressives pour la peau.
Avec un produit dépilatoire adapté et sans produits chimiques agressifs, vous garantissez à votre peau une épilation en douceur sans irritation.
Ça tombe bien, chez Dépile Argile, nous avons créé une crème dépilatoire 100% naturelle à base d’aloe vera, qui vous garantit une épilation en profondeur et pas seulement en surface.
Les épilations ratées et douloureuses ne seront plus qu’un mauvais souvenir. Notre solution adaptée aux peaux sensibles, va ravir votre épiderme en retardant la pousse du poil.
En plus, elle est très facile à utiliser depuis chez vous.
Dans tous les cas, il est essentiel de contacter un gynécologue ou votre médecin traitant si vous avez un doute.
Sources scientifiques :
“Global, regional, and national prevalence and risk factors for polycystic ovary syndrome in 2020 and 2030: a population-based modelling study” : The Lancet, 2022.
“Physiopathologie du syndrome des ovaires polymorphes”, INSERM, 2023.
“Diagnosis and Treatment of Polycystic Ovary Syndrome: An Endocrine Society Clinical Practice Guideline”, Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2021.
Le syndrome SOPK : tout savoir sur cette maladie méconnue
Dans cet article, vous allez découvrir le syndrome SOPK, qui signifie “syndrome des ovaires polykystiques”.
La cause de cette maladie est encore méconnue, mais il y a plusieurs facteurs qui peuvent déterminer si vous êtes potentiellement touchés.
Elle affecte principalement les femmes qui sont en âge d’avoir des enfants avec des dérèglements hormonaux.
Zoom sur le syndrome SOPK et toutes ses spécificités.
Ce qu’il faut retenir :
Comment savoir si j’ai le syndrome SOPK ?
La maladie se développe généralement entre 15 et 45 ans et correspond à la période de procréation chez la femme.
Il n’y a pas qu’un seul facteur qui tend à dire que vous avez absolument cette maladie, mais plutôt un ensemble de signaux.
Voici les signes qui devraient vous alerter.
Quels sont les principaux symptômes ?
Dans 80 % des cas, on retrouve des troubles du cycle menstruel avec des cycles irréguliers et des règles absentes ou trop espacées. Ici, les règles peuvent être espacées de plus de 35 jours.
Dans 70% des cas, on assiste à une manifestation excessive de poils et l’apparition d’acné et d’une peau grasse, ainsi qu’une perte anormale de cheveux appelée alopécie androgénétique.
Enfin dans 50 % des cas, vous pouvez constater des troubles métaboliques avec une prise de poids importante, notamment au niveau abdominal. Conséquence, vous êtes plus susceptibles de développer un diabète de type 2.
Pourquoi contracte-t-on cette maladie ?
Même si aucune étude scientifique n’a tiré de conclusion définitive sur l’origine de cette maladie, on retrouve quand même certains points communs sur les femmes qui ont développé le syndrome SOPK.
Si vous avez quelqu'un dans votre famille qui a déjà eu cette maladie, cela augmente le risque que vous l’ayez aussi. En effet, l’hérédité joue un rôle important dans la transmission.
Vos hormones produisent beaucoup trop de testostérone et vous avez quasiment la même pilosité que celle d’un homme.
Une femme en surpoids a aussi plus de risque d’être concernée. On estime à 50% le pourcentage de femmes en surpoids ayant le syndrome SOPK. C’est pourquoi il est vital de surveiller votre alimentation pour qu’elle soit la plus équilibrée possible, ainsi que de pratiquer une activité physique régulière.
Existe-t-il un traitement pour le syndrome SOPK ?
Aujourd’hui, il n’existe aucun traitement pour traiter cette maladie. C’est une maladie incurable, que vous aurez à vie.
Rassurez-vous, il existe quand même des traitements médicaux et naturels pour vous rendre la vie moins contraignante.
Les traitements médicaux
Les solutions naturelles
Certaines plantes ont montré des effets bénéfiques dans la gestion des symptômes du SOPK. Voici les meilleures plantes qui peuvent vous aider à réguler ce syndrome.
La cannelle : elle réduit la résistance à l'insuline et améliore la régularité des cycles menstruels. La cannelle peut être bénéfique pour les femmes atteintes de SOPK souffrant d’aménorrhée, c’est-à-dire d’absence de règles.
Le thé vert : il régule le taux de glycémie et améliore la sensibilité des cellules à l'insuline.
Le fenugrec : il améliore la sensibilité à l’insuline et peut aider à réduire les taux d'androgènes.
Une infusion de quelques tasses par jour d’une de ces plantes, en complément d’un traitement médical adapté est une solution idéale pour stimuler la production d’ovaires.
S’épiler avec une crème naturelle
La crème dépilatoire représente une solution efficace et naturelle pour gérer ce problème d'hirsutisme lié au syndrome SOPK.
Il est assez fréquent de voir des femmes souffrant de ce syndrome, utiliser des méthodes d’épilation agressives pour la peau.
Avec un produit dépilatoire adapté et sans produits chimiques agressifs, vous garantissez à votre peau une épilation en douceur sans irritation.
Ça tombe bien, chez Dépile Argile, nous avons créé une crème dépilatoire 100% naturelle à base d’aloe vera, qui vous garantit une épilation en profondeur et pas seulement en surface.
Les épilations ratées et douloureuses ne seront plus qu’un mauvais souvenir. Notre solution adaptée aux peaux sensibles, va ravir votre épiderme en retardant la pousse du poil.
En plus, elle est très facile à utiliser depuis chez vous.
Dans tous les cas, il est essentiel de contacter un gynécologue ou votre médecin traitant si vous avez un doute.
Sources scientifiques :
“Global, regional, and national prevalence and risk factors for polycystic ovary syndrome in 2020 and 2030: a population-based modelling study” : The Lancet, 2022.
“Physiopathologie du syndrome des ovaires polymorphes”, INSERM, 2023.
“Diagnosis and Treatment of Polycystic Ovary Syndrome: An Endocrine Society Clinical Practice Guideline”, Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2021.